1994 - 2004

Nouveau locaux à Scientrier

Construction des locaux de Scientrier.

Soucieux d’intégrer ses employés au développement de l’entreprise, le directeur opte alors pour une société civile immobilière (SCI) dans laquelle plusieurs de ses collaborateurs peuvent prendre des parts. Précurseur en la matière, le bâtiment est équipé d’une climatisation réversible qui assure une température constante nécessaire à la haute précision des pièces usinées. L'entreprise décide également dans une démarche éco responsable de récupérer les eaux pluviales afin de réduire la consommation de résines pour déminéraliser l’eau des machines, qui elles, sont difficiles à recycler.

En 1999, Daniel Gavard songe à se retirer progressivement de son entreprise et propose à plusieurs employés de s’associer pour la reprendre. Tous se montrent intéressés et la conclusion de l’affaire est à bout touchant lorsque survient une forte crise dans le domaine du moulage plastique, un secteur qui assurait alors plus de la moitié du chiffre d’affaires de l’entreprise. Ne souhaitant pas mettre ses employés en difficulté par la reprise d’une société dont la valeur venait de diminuer, Daniel Gavard décide de repousser la transmission et de diversifier les activités de la société en s’orientant dans la réalisation de pièces de mouvements pour une marque horlogère genevoise. Cette diversification des marchés s’accompagne d’une tentative d’expansion géographique avec l’ouverture d’une succursale aux Etats-unis en 2000. Les attentats du 11 septembre de l’année suivante mettent un coup de frein aux velléités de développement Outre-Atlantique et la baisse des affaires qui s’ensuit pousse l’entreprise à revendre sa succursale

En 1999, Daniel Gavard songe à se retirer progressivement de son entreprise et propose à plusieurs employés de s’associer pour la reprendre. Tous se montrent intéressés et la conclusion de l’affaire est à bout touchant lorsque survient une forte crise dans le domaine du moulage plastique, un secteur qui assurait alors plus de la moitié du chiffre d’affaires de l’entreprise. Ne souhaitant pas mettre ses employés en difficulté par la reprise d’une société dont la valeur venait de diminuer, Daniel Gavard décide de repousser la transmission et de diversifier les activités de la société en s’orientant dans la réalisation de pièces de mouvements pour une marque horlogère genevoise. Cette diversification des marchés s’accompagne d’une tentative d’expansion géographique avec l’ouverture d’une succursale aux Etats-unis en 2000. Les attentats du 11 septembre de l’année suivante mettent un coup de frein aux velléités de développement Outre-Atlantique et la baisse des affaires qui s’ensuit pousse l’entreprise à revendre sa succursale.

En 2004, Daniel Gavard fait réestimer son entreprise et revient avec une nouvelle proposition de rachat qu’il soumet à Alain Pellet, Pascal Nicoud et Benoit Seigneur. L’organisme de financement contacté par ces derniers exige alors quelques garanties. Daniel Gavard décide de se porter garant en rachetant 25% des parts. En 2009, il prend définitivement sa retraite et revend ses parts deux ans plus tard, laissant ses trois anciens employés co-associés à 33% chacun.

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